Quelques mots sur l'auteur...
Je m’appelle Jean-Pierre Fuchs.
À 65 ans, en 2024, je suis devenu un "jeune auteur". Je sais, il faut le dire vite ! 😊
Quand j’avais 7 ans, je voulais marcher sur la lune. Mes parents m’ont persuadé que pour ça, il fallait être ingénieur. Je ne suis jamais allé dans l’espace, mais j’ai fait une carrière d’ingénieur télécom.
En parallèle, j’ai écrit : des poèmes, quelques articles pour des journaux associatifs. J’adorais ça. J’avais allumé une petite flamme qui allait couver très longtemps.
Quelques mots sur l'auteur...
Je m’appelle Jean-Pierre Fuchs.
À 65 ans, en 2024, je suis devenu un "jeune auteur". Je sais, il faut le dire vite ! 😊
Quand j’avais 7 ans, je voulais marcher sur la lune. Mes parents m’ont persuadé que pour ça, il fallait être ingénieur. Je ne suis jamais allé dans l’espace, mais j’ai fait une carrière d’ingénieur télécom.
En parallèle, j’ai écrit : des poèmes, quelques articles pour des journaux associatifs. J’adorais ça.
J’avais allumé une petite flamme qui allait couver très longtemps.
Je m’appelle Jean-Pierre Fuchs.
À 65 ans, en 2024, je suis devenu un "jeune auteur". Je sais, il faut le dire vite ! 😊
Quand j’avais 7 ans, je voulais marcher sur la lune. Mes parents m’ont persuadé que pour ça, il fallait être ingénieur. Je ne suis jamais allé dans l’espace, mais j’ai fait une carrière d’ingénieur télécom.
En parallèle, j’ai écrit : des poèmes, quelques articles pour des journaux associatifs. J’adorais ça.
J’avais allumé une petite flamme qui allait couver très longtemps.
Dans ma vie d’ingénieur, je surprenais mes collègues par mes "débordements littéraires" et les touches d’humour dont j’émaillais des ouvrages essentiellement techniques.
Ils me disaient tu devrais écrire. Des idées, j’en avais ! C’est le temps qui manquait… Toujours la même excuse ! J’avais déjà en tête, il y a une vingtaine d’années, les bases de mon premier roman. Le germe était solidement enraciné et attendait son heure.
En février 2024, le haricot magique est sorti de terre. Une série de songes m’a littéralement obligé à écrire mon premier roman Heptaskel – le Cristal des Mémoires, dans la fièvre et des larmes de joie.
Dans mes rêves lucides apparaissaient de nouveaux personnages, de nouvelles situations, de nouveaux dialogues. Je ne comprenais rien à ce qui m’arrivait.
J’en ai encore le frisson rien que d’en parler !
Calou, ma femme, s’est révélée une alpha-lectrice bienveillante mais intransigeante. Sans elle, je me serais facilement éparpillé. J’accueillais souvent ses remarques avec l’amabilité d’une maman ourse protégeant ses oursons. Mais heureusement, je l’ai écoutée !
Achevé le 8 juillet après cinq mois d’écriture, Heptaskel a trouvé neuf Bêta-lecteurs. Les retours sont très positifs.
Encore quelques retouches, et surtout un travail conséquent d’édition et de promotion, et le rêve sera devenu réalité.
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